FIAN dénonce que la surveillance actuelle de la sécurité alimentaire en zones de conflit se focalise trop sur les chiffres (nombre de morts, seuils de crise) et en masque les causes structurelles (violations des droits, marginalisation, usage de la famine comme arme), comme observé à Gaza et au Soudan. Le rapport appelle à intégrer des indicateurs basés sur les droits humains et les données locales, et à instaurer une collaboration plus étroite entre acteurs humanitaires et droits de l’homme, afin d’anticiper les crises plutôt que d’y réagir.