Cette déclaration condamne l’extractivisme – minier, énergétique, agro-industriel – comme une forme de pillage néocolonial qui détruit les territoires, les communautés et l’environnement. Elle appelle à une résistance populaire, féministe, anticapitaliste et décoloniale, en proposant la création d’un Réseau international des peuples contre l’extractivisme pour unir les luttes et construire des alternatives écoterritoriales.